Cabanga, encore raté !

Défausser une carte

À l’entame de la partie, Cabanga est désarmant de simplicité. Votre but : vous débarrasser en premier de vos 8 cartes de 4 couleurs différentes, numérotées de 1 à 18. À votre tour, vous défaussez une de vos cartes sur une des deux piles de la couleur correspondante. Point.

Cabanga !

Mais ce faisant, vous recouvrez une autre carte déjà présente, modifiant ainsi l’écart qui la sépare de celle d’à côté. Et c’est là que les autres joueurs, à l’affût, peuvent vous « cabanguer » en vous refilant des cartes de la même couleur et dont la valeur se situe dans le nouvel intervalle que vous venez de créer. La prochaine fois, vous y réfléchirez à deux fois !

Cette menace qui plane en permanence sur le jeu en fait tout l’intérêt : on joue parfois la fleur au fusil en créant un petit écart peu risqué et… on se fait prendre contre toute attente. Ou on y va battu d’avance, prêt à recevoir une pluie de cartes … et rien ne se passe, en mode miracle inespéré.

Entre soulagement et surprise

Sous cette épée de Damoclès, entre les ouf de soulagement et les cris de surprise, toute une palette d’émotions anime les joueurs, réunis autour de l’envie fébrile de défier le sort que les autres tiennent entre leurs mains.

Un ascenseur émotionnel

Convivial et taquin, l’ascenseur émotionnel dans lequel Cabanga vous embarque en fait le jeu parfait pour taper joyeusement le carton entre amis ou en famille. Quel que soit le niveau que vous atteignez, le plaisir est au rendez-vous.