Challengers, et le challenger devint champion !

Un jeu provocateur

Provocateur, Challengers sait surprendre son public pour mieux le séduire : derrière sa couverture criarde de jeu de baston mal dégrossi, se cache en fait une touchante subtilité.

Un jeu-tournoi

À commencer par l’enjeu, qui n’est pas la bagarre mais le recrutement. Pour défier les autres joueurs en mode tournoi, on enrichit manche après manche son équipe en y ajoutant des cartes personnage de plus en plus fortes. Le choix, tout en finesse, se fait selon les valeurs de force mais aussi leurs effets dont les synergies augmenteront votre force frappe.

De la prise de drapeau

Ensuite, on déroule : dans une dynamique alternative de prise de drapeau, on révèle ses cartes dans un ordre aléatoire en priant pour qu’elles s’enchainent au mieux pour épuiser l’adversaire en l’obligeant à vider son paquet de cartes ou pour remplir son « banc des blessés ».

Les phases actives de recrutement succèdent ainsi aux phases indécises de résolution, jusqu’à la finale qui opposera les deux joueurs ayant remporté le plus de duels.  Chaque partie propose ainsi un défi haletant où l’on grandit avec l’équipe que l’on construit, et une aventure collective hautement interactive où l’on se mesure tour à tour à chacun des autres joueurs.

Comme le vilain petit canard

À l’image du gros poussin incongru qui orne la boite, Challenger a le charme des vilains canards qui deviennent cygnes : on s’en méfie, puis on se surprend à l’aimer, à l’adorer et à ne plus pouvoir s’en passer !