Happy City, Le bonheur en ville

Chacun sa ville

Dans Happy City, chacun construit sa ville, composée de différents bâtiments comme un magasin de chaussures, une école, un zoo ou une maison hantée. Ceux-ci procurent du bonheur, des habitants ou des revenus supplémentaires et on vous laisse deviner ce qui rapporte quoi ! L’argent, nerf de la guerre, permettra d’acquérir au fur et à mesure de la partie des infrastructures plus intéressantes mais toujours plus onéreuses.

De l’incompatibilité dans l’air

À son tour, on achète un bâtiment parmi les trois sur la table et on le pose devant soi. Le hic, c’est que bien souvent ceux-ci ne sont pas compatibles entre eux et que celui qui nous rapporte de l’argent fait fuir les habitants et que là où il y a de l’argent, il n’y a pas forcément du bonheur…  On peut ensuite récupérer un et un seul objectif pour toute la partie, qui rapporte plus ou moins d’avantages en fonction de la manche à laquelle on le prend. Plus on attend, plus ce dernier sera attrayant mais attention car un joueur met fin au jeu dès qu’il construit son dixième bâtiment.

Tout pour une Happy City !

Jonglant habilement avec ces différents paramètres, il ne faut cependant pas perdre de vue qu’en fin de partie, on multiplie le nombre d’habitants par le nombre de cœurs présents sur les cartes, afin de déterminer qui a la plus happy des cities ! Aussi léger dans le thème que dans la mécanique, voici un jeu qui ne manque pas de choix ni de subtilité et nous pose à tous la question « Il est où le bonheur, il est où ? ».