Motu, l’archipel des plaisirs

Une construction organique

Recréer une île c’est bien, mais de manière écoresponsable, c’est mieux ! Pas étonnant donc que le principe de construction se veuille organique, car c’est en superposant et en orientant dans tous les sens des cartes paysage que vous générez et personnalisez votre territoire. Il y a obligation de respecter la continuité des bords de mer et de certaines régions, mais sans quadrillage « cartésien » imposé.

L’équilibre des symboles

Loin d’être anarchique, cette liberté est charpentée pas une solide mécanique, à commencer par un marché évolutif qui régule le coût des cartes paysages à payer… en noix de coco !

Ces cartes sont émaillées d’icônes de ressources et de consommateurs : du poisson pour les pécheurs, du gibier pour les chasseurs, du bois pour les bateaux. À vous de faire apparaître sur votre île un maximum de ces paires d’icônes, tout en « ménageant la chèvre et le choux » – façon vahiné – pour assurer l’équilibre et éviter une fatidique surproduction.

La gestion de 6 scorings

Pour couronner le tout, les joueurs sont ici maîtres de leur destin, car il leur appartient de déclencher dans l’ordre qu’ils veulent les 6 scorings qui ponctuent la partie, avec les responsabilités que cela implique en termes de choix, d’équilibre et de plaisir de jeu !

D’un abord simple, dévoilant ses richesses en douceur, ni gnan-gnan, ni moralisateur, Motu place sa logique écologique au cœur de l’expérience de jeu, dans un tout cohérent et passionnant.